Albi: convention signée entre CAF et CCAS

Tarn libre et CCAS jeu 5 dec 2013 083

Albi : Convention entre CAF et CCAS

Une convention a été signée entre la Caisse d’Allocations familiales et le CCAS de la ville d’Albi, dans le cadre de la mise en oeuvre de la politique sociale réalisée de façon complémentaire par ces deux institutions. Etaient présents au siège du CCAS, 2 avenue du colonel Teyssier, Stéphanie Guiraud-Chaumeil, Gisèle Dedieu, 1ere adjointe, représentant le maire Philippe Bonnecarrère, président du CCAS, retenu à Toulouse, Anne-Marie Lugan, élue municipale déléguée à l’action sociale et au logement, Martine Soulet présidente de la CAF, Elisabeth Dubois-Pitou, directrice de la CAF, Laurent Chesneau, directeur-adjoint, Marie-Pierre Granier, élue en charge de la Jeunesse et de la petite enfance. Les centres sociaux diffusent une politique « de lien social et de soutien aux plus démunis », dans les quartiers les plus sensibles, comme l’affirme Anne-Marie Lugan dans une interview sur le site de la mairie d’Albi.

Trois centres sociaux en fonctionnement
Trois centres sociaux sont actuellement en fonctionnement sur Albi, le Centre social de Cantepau situé au 16, Square Bonaparte, le Centre social de Veyrières – Rayssac au 15, bis rue Frédéric Mistral et le Centre social Saint Martin Lapanouse au 7, avenue E.Herriot. Equipements structurants de la vie sociale, ces centres veulent développer une action de proximité en augmentant le quota des habitants qui soient coauteurs et acteurs de projets ; il importe de faire non tant pour les personnes qu’avec le concours de celles-ci, dans des quartiers où le sens de l’humain est primordial. A cet égard, le centre social est comme une maison où on peut trouver des informations et des services pour un mieux-vivre ensemble. La CAF gère seule le centre de Lapanouse tandis que le CCAS gère ceux de Cantepau et de Veyrières.
La convention porte essentiellement sur le volet financier ; il est prévu une montée en charge progressive de la participation mairie de 25 % en 2014 à 42% en 2016. « Le but est de faire fonctionner au quotidien ces centres au service des populations qui les fréquentent », souligne Elisabeth Dubois-Pitou.
Pierre-Jean Arnaud

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