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Samedi 15 juin dernier s’est tenue l’Assemblée Générale Annuelle de l’Union Régionale des SCOP de Midi-Pyrénées à Cap Découverte (81) rassemblant près d’une centaine de coopérateurs. L’occasion pour les SCOP, SCIC et CAE de la région de dresser le bilan de l’année passée.
2012 : 22 créations en Scop/Scic et 96 emplois en Midi-Pyrénées
17 Scop et 5 Scic ont vu le jour en 2012
10 créations ex-nihilo ; 1 reprise ; 11 créations par transmission ou transformation
Ariège :
– Pyrène Automation : charriots d’arrosage automatiques
Haute-Garonne :
– Altern Mobil : Mode de transport doux
– Anacharsis (Scic) : Maison d’éditions
– Capjaya : Bureau d’études informatiques
– Contre Jour : Logiciels pour améliorer l’autonomie des malvoyants
– Co-Savoirs : Spécialiste en logistique, achat, systèmes d’information et d’organisation
– DMS : Réparation d’appareils électroménagers
– Elpab (Scic) : Production de légumes bio et distribution en circuit court
– EMA : Spécialiste en organisation du travail
– Gerusia : Facilitateur de management et de mutations
– Impact (Scic) : Conseil en RSE
– Météolien : Bureau d’études techniques indépendant spécialisé en éolien
– Prat : Plomberie
– Unisvert : Commerce de denrées alimentaires biologiques et équitables
Gers :
– BTP Concept : Bâtiment, éco-construction
– Coop Lomagnole du Bâtiment : Bâtiment
– La Cant’Auch (Scic) : Restauration et entreprise d’insertion
Hautes-Pyrénées
– Pop Kom : Agence de communication
Tarn :
– Epurscop : Phytoépuration
– Flageat : Menuiserie
– Tersol del Poux (Scic) : Maraîchage et entreprise d’insertion
Tarn-et-Garonne
– Scopeco : Bâtiment
Perspectives pour 2013
« 2012 a été une année riche en créations de Scop/Scic, qu’il s’agisse de projets ex-nihilo, ou de transmission-transformation. Au vu des accompagnements menés au premier semestre 2013 et aux prises de contacts pour le 2e semestre, nous espérons voir ce chiffre encore croitre cette année avec près d’une trentaine de nouvelles Scop/Scic et environ 140 emplois à la clef sur tout le territoire midi-pyrénéen. Cet engouement peut s’expliquer de plusieurs façons. L’une d’entre elles est la crise économique qui s’installe et qui oblige de repenser certains modèles. Les entrepreneurs font le choix de davantage de démocratie et de transparence au sein de la gestion de l’entreprise tout en souhaitant ancrer l’activité sur les territoires. » Muriel Decout, directrice générale URSCOP Midi-Pyrénées/ www.scopmidipyrenees.coop

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Éducation au patrimoine ( communiqué Conseil Général)
Une convention de partenariat Education au Patrimoine a été signée entre
le Conseil général et l’Education Nationale. Cette nouvelle convention
thématique s’inscrit dans le cadre de la convention Tarn Education Culture
renouvelée au mois de décembre 2012 et portant sur le cinéma, la musique,
le théâtre, la danse et la culture scientifique. Elle confirme la volonté forte
des signataires de développer l’éducation artistique et culturelle en faveur
du public scolaire.

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 Albi : Fête de la musique 21 juin 2013
La cour de la préfecture accueillait ce vendredi 21 juin, une des 40 animations programmées par la ville d’Albi et ses partenaires, dans le cadre de la fête de la musique. Dans cette heure de musique, on a eu droit au charme de la flûte, à la subtile persuasion des cordes de l’orchestre avec le violon solo de Simon Fréjairolles, sous la direction d’Alain Simonou. Pour finir cette audition, le chœur d’Arioso placé sous les baguettes successives de Christine Caner et de Tatiana Danilian nous a fait connaître l’ivresse et la chaleur des grands chœurs d’opéra, alors que le ciel commençait à distiller quelques gouttes de pluie glacée, en ce début d’été où la météo avait oublié de s’ajuster avec le calendrier.
1ere partie : c’est le charme de la flûte qui opère
Parmi les oeuvres interprétées, le quatuor de flûtes « Chats » de Marc Berthomieu, musicien qui gagnerait à être mieux connu, le concerto pour 4 flûtes de Telemann, Little brown jug de Joseph Eastburn, la très célèbre Badinerie de JS Bach et pour finir sur une note dansée, un Mambo de Amos.
Trio de flutes et violon et c’est le charme qui opère sous un ciel mitigé. Flûte baroque, flûte d’époque, on est plongé soudain dans les soirées d’antan. La flûte se fait enjoueuse, elle est primesautière quand elle flirte avec le jazz. Puis, elle revient toute douce, déroulant ses volutes suaves pour dire un air de paix.
2eme partie : en harmonies subtiles sous la direction d’Alain Simonou
Marc-Antoine Charpentier : concerto pour 4 violes, Le mépris film de Godard musique de Georges Delerue, Airs populaires roumains, Liste de Schindler de John Williams, autant de morceaux où les élèves du Conservatoire s’exercent et se déploient en harmonies subtiles sous la baguette éclairée du chef Alain Simonou et du jeune soliste violon, Simon Fréjairolles.
3ème partie : ivresse des grands airs d’opéra avec Arioso
Chefs de chœur : Christine Caner puis Tatiana Danilian ; soliste piano : Camille Galinier
1) Chœur scène 1 de Guillaume Tell de Rossini : Quel jour serein le ciel présage !
2) Chœur des Philistins tiré de Samson et Dalila de Camille Saint-Saëns
3) Chœur des mariés de Donizetti : soliste ténor Nicolas Desrosiers
4) Duo des boyards tiré du Prince Igor de Borodine ; soliste Caroline Laffont ; nous avons connu l’ivresse d’un air d’opéra grâce à la talentueuse Caroline Laffont qui s’est approprié le rôle avec beaucoup de maîtrise et de conviction, faisant un écho magnifique aux choristes d’Arioso. Une vraie performance et une belle exaltation de l’âme russe !
5) Chœur des Esclaves de Nabucco de Verdi : une envolée qui nous transporte aux sommets de l’art lyrique ; on ne s’en lasse pas, notamment grâce à l’accompagnement piano juste, souple et tonique de Camille Galinier.
Pierre-Jean Arnaud

Une assistance nombreuse en ce mardi soir 19 juin, place Bosquet, pour fêter le départ vers Paris du commandant de la brigade de gendarmerie de Graulhet, le lieutenant Bertrand Collot. Si l’on en juge par les cadeaux reçus et la chaleur des hommages exprimés lors des discours officiels, on peut mesurer aisément le degré d’estime dans laquelle quel cet officier était tenu sur la place de Graulhet et aussi celle de Lavaur, où il avait exercé son premier commandement

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