Castres: jubilé 3e étape

» Les 8 et 9 mars prochains vont voir se dérouler, à Castres, des célébrations diocésaines très importantes.

Le samedi après-midi sera célébré, par Monseigneur Balsa, l’Appel décisif des jeunes et des adolescents du diocèse qui seront baptisés à Pâques ; le dimanche matin, ce sera au tour des adultes qui vivront la même démarche.

Mais le samedi soir, 8 mars, à 20 heures 30 à Notre-Dame d’Espérance, nous sommes tous invités à la 3ème veillée jubilaire qui aura lieu dans le Tarn.

Après Lavaur (en octobre) et Albi (en janvier), tous les chrétiens du diocèse sont invités à se rassembler autour de Monseigneur Balsa pour un temps de prière, d’adoration et de confession dans le cadre du Jubilé de l’Espérance célébré en cette année 2025.

Tout le monde ne pourra pas se rendre à Rome où ont été ouvertes les portes saintes qui invitent, en les franchissant, à vivre une démarche de conversion, de pénitence et de réconciliation. Franchir ces portes est un signe concret qui signifie que le chrétien est fait pour passer du péché à la grâce, de la mort à la vie.

Ici à Castres, à la suite des étapes de Lavaur et d’Albi, nous allons continuer notre pèlerinage jubilaire ; cette 3ème étape permettra à ceux qui la vivront de se laisser réconcilier avec Dieu, de recevoir le pardon et la grâce de la conversion.

Comme pour toute année jubilaire, ce sera même l’Indulgence plénière qui sera reçue par ceux qui vivront la démarche proposée avec foi. En effet, « le péché « laisse des traces », il entraine des conséquences : non seulement externes dans la mesure où il s’agit des conséquences du mal commis, mais aussi internes, dans la mesure où « tout péché, même véniel, entraine un attachement malsain aux créatures, qui a besoin de purification soit ici-bas, soit après la mort dans l’état qu’on appelle purgatoire » (CEC 1472).

Il reste donc, dans notre humanité faible et attirée par le mal, des « effets résiduels du péché ». Ceux-ci sont éliminés par l’indulgence, toujours par la grâce du Christ, qui est, comme l’a écrit saint Paul VI, « notre indulgence».

(L’Espérance ne déçoit pas n°21).

Nous sommes donc tous invités à vivre ce temps de grâce au début du Carême ! »

Père Philippe SENES

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *