- Mercredi 29 septembre 18h : Vernissage à la médiathèque de Graulhet dans le cadre du Festival du Livre
A voir actuellement à la médiathèque de Graulhet dans le cadre du Festival du livre de Gaillac, l’exposition « Quitter la baie » d’après la BD du même nom par Bérénice Motais de Narbonne. Vernissage en présence de l’auteure le mercredi 29 septembre à 18h.
- Jeudi 30 septembre à 19h : vernissage de l’Art de la Rencontre à la Maison des Métiers du cuir en présence des artistes [dossier de presse et invitation en pièce-jointe]
Cinq artistes et designers de renom ont été sélectionnés pour une résidence d’artistes exceptionnelle, « L’art de la rencontre », installée au cœur des entreprises de la filière cuir de Graulhet. La ville de Graulhet souhaitait favoriser la création contemporaine, encourager les partenariats entre divers acteurs du territoire et valoriser la filière cuir de Graulhet. C’est la grande première d’une manifestation régulière innovante annuelle. Le pari a été réussi, mettant en avant le génie artistique et l’excellence de la filière cuir de Graulhet tout en favorisant l’émergence de nouveaux talents. Les entreprises, la Maroquinerie Philippe Serres, la maroquinerie La Fabrique, Eurêka et Cuir en Stock, ont sélectionné les artistes parmi une pré-sélection du commissaire d’exposition du Centre d’Art le Lait, Antoine Marchand.
- Vendredi 01 octobre : Réception de la délégation de Prien am Chiemsee, dans le cadre de son jumelage avec la ville de Graulhet, à 17h30 en mairie [non ouvert au grand public]
Les liens entre les deux villes, établis en 1965, occasionnent des échanges officiels scolaires, sportifs, artistiques, de particuliers ou de groupes de tous âges et de toutes professions, plusieurs fois par an. Cette belle aventure se poursuit également grâce aux liens affectifs intenses qui se sont tissés entre les deux cités.
- Vendredi 01 et samedi 02 octobre à 20h30 spectacle gratuit « Décontes du quotidien et autres chroniques féminines» dans le cadre de la saison culturelle (Forum)
Découvrez la femme qui parlait pour que son mari ne l’oublie pas, des princesses chantant le désenchantement, des actrices numérotant leurs regards, questionnant leur rôle et leur place. Qu’elles soient vivantes, mortes, réelles ou personnages, elles témoignent avec humour et poésie de leur passage sur la terre, réinterrogeant ardemment les archétypes liés à la construction d’une identité féminine, leurs conflits intérieurs, leurs intimités profondes. Ce spectacle loufoque et décalé aux allures de groupe de réflexion, pose un regard aiguisé sur celles que nous sommes.