LGV Bordeaux-Toulouse: c’est oui!

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LGV Bordeaux-Toulouse…..Martin Malvy :  » la décision que nous espérions « 

Communiqué  de l’Hôtel de Région, le 26 septembre 2015
Le président du Conseil régional Midi Pyrénées qui a appris par Alain Vidalis, secrétaire d’Etat aux Transports, au cours d’un échange téléphonique cet après-midi, la décision du Gouvernement en faveur de la poursuite du projet de ligne à grande vitesse entre Bordeaux et Toulouse d’une part, Bordeaux et l’Espagne sur le versan atlantique, d’autre-part, s’est dit « particulièrement satisfait ».
« C’est ce que nous attendions, ce que nous espérions » a déclaré Martin Malvy. « Les étapes se franchissent les unes après les autres au rythme sur lequel nous nous sommes mis d’accord. François Hollande lui même avait annoncé en Midi-Pyrénées que la décision du Gouvernement serait prise à la fin de l’été.
Si nous ne lâchons rien, si la même détermination se poursuit, Toulouse peut être dans 4 ans à 3h15 de Paris. Comme Nîmes ou Montpellier le sont aujourd’hui. C’est une condition majeure à la poursuite de notre développement et à la diversification de l’emploi. L’étape franchie aujourd’hui est l’une des plus importantes de toutes celles que nous avons du surmonter. GPSO, notre projet, est le seul qu’en responsabilité budgétaire le Gouvernement ait décidé de poursuivre dans les années qui viennent. C’est un élément supplémentaire en faveur de sa réalisation ».

Hôtel de Région le 26 septembre 2015

GPSO
Martin Malvy : « On ne fait pas rouler des TGV derrière des trains de marchandises ».
Dans une nouvelle déclaration, Martin Malvy, président de la Région Midi-Pyrénées, a précisé cet après-midi :
« Pour certains, on pourrait aménager la voie actuelle pour une dépense moindre. Cela a été examine. Mais on ne fait pas rouler un train à grande vitesse derrière un train de marchandises. Cela ne marche pas. La ligne classique est par ailleurs saturée alors qu’il faut créer de nouveaux trains, y compris régionaux.
Il n’y a pas d’alternative ou plutôt il n’y a que le choix de faire ou de ne pas faire. Cela coûtera cher. C’est exact. Nous avons prévu la dépense. Mais renoncer comme certains le souhaitent coûterait beaucoup plus cher à l’économie régionale et à l’emploi, non pas pendant un an mais pendant très longtemps ».

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