
CANICULE
C anicule, on transpire rien qu’en respirant ;
A rdeur du cher Phébus, brûlant bêtes et gens.
N ous t’implorons, ô Nuit, viens calmer sa fureur.
I nstallant ta fraîcheur au cœur de nos chaleurs.
C anicule, en juin, précocement venue ;
U ne ondée abondante serait la bienvenue.
L e ciel en sa clémence, ouvrirait ses écluses
E t rendrait le sourire aux lèvres de ma Muse !
Pierre-Jean ARNAUD – vendredi 17 juin 2022