Graulhet: 14e rallye Val Dadou

Graulhet : 78 pilotes engagés au 14e rallye du Val Dadou 

Après deux ans d’interruption, la 14eme édition du Rallye du Val Dadou, organisé par Sport Auto Passion a renoué avec la cité et la campagne graulhétoises ce week-end des 21 et 22 mai. 92 pilotes s’étaient inscrits pour cette épreuve ; 78 équipages se sont retrouvés au départ. Une épreuve qui se disputait en 3 manches spéciales sur un parcours sélectif tracé entre la côte de Notre-Dame-des-Vignes, Cabanès, Canguilhan.  Durant la journée du samedi, les pilotes sont passés sous les fourches caudines d’André Fourment et de ses équipes pour vérification de la conformité des véhicules aux normes de contrôle technique et de sécurité : habillage des arceaux, gainage des câbles, étanchéité de l’habitacle, extincteurs, plaques réservoirs, etc.

Dans les coulisses  de la course avec Yves Escloupé, un directeur de courses attentif

Dans le PC de course, Yves Escouplé en directeur de course vigilant, veille au grain et chaque acteur sait parfaitement décliner sa partition tel Patrice Marty, le responsable du collège des commissaires sportifs. Seul petit souci, la remontée des temps des concurrents en raison d’une certaine saturation des réseaux mobiles et des zones blanches ; mais tout finit par rentrer dans l’ordre.  Après la 1ere épreuve spéciale, Freddy Bonnet, pilote et Sylvain Dellarossa, copilote, venus de Rodez, sont fiers de présenter leur Saxo A6k n° 39 relookée avec les figurines des Minions : « Pour notre 4e rallye avec la voiture, nous avons ici un très beau parcours, souligne Freddy ; il faut juste prendre le pas sur le tracé, sur les pneus et trouver la confiance. » On croise  Anthony Cazot et Thomas Mirabel sur BMW 316i puis un beau trio familial avec le pilote Christian Deltour, Véronique Delous, copilote sur Peugeot 206 n°40 : « Partis en 36e position, nous avons eu une très belle route technique ; la seconde épreuve sera plus rapide. C’est toujours un plaisir de se retrouver ici dans la grande famille des coureurs, nous sommes dans le bain depuis 1987. »  Quant à Joseph Martinez, spécialiste  réseaux et informatique, son job est de récupérer les temps et les transmettre à la direction de course ; cela grâce non pas à une voiture mais à sa fidèle moto  une BMW RT1200 : «  A partir de 10km/h, elle se conduit comme une mobylette », ce que ne va pas démentir Marie-Lou Géromin, une des chevilles ouvrières du rallye !

Voir : https://www.rallye-sport.fr/es1-val-dadou-2022/  ou http://www.rallyego.com/rallye-du-val-dadou/

Pierre-Jean Arnaud

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